Pour Alix Didier Fils-Aimé, restaurer la sécurité publique ne relève pas simplement d’une promesse gouvernementale, mais d’un devoir de conscience. Fort de plus de vingt-cinq années d’expérience dans le secteur privé, le Premier ministre sait que sans stabilité, il ne peut y avoir ni économie, ni justice sociale, ni démocratie viable. C’est avec cette conviction profonde qu’il mène une bataille acharnée pour que la République reprenne le dessus face aux forces du chaos.
Depuis plusieurs mois, le gouvernement qu’il dirige met en œuvre une stratégie de sécurité robuste, coordonnée et sans concession. Chaque opération, chaque décision s’inscrit dans une volonté claire : reprendre le contrôle des zones dominées par la peur, redonner aux citoyens le droit fondamental de vivre libres et en paix.

Une offensive méthodique et ciblée
Sous sa direction, les forces de l’ordre bénéficient désormais de moyens renforcés, alliant technologie moderne, renseignement de terrain et actions de précision. L’utilisation de drones kamikazes, de snipers d’élite, et de frappes coordonnées a permis de désorganiser plusieurs réseaux criminels.
Des chefs de gangs jusque-là insaisissables ont été frappés de plein fouet. Certains ont été grièvement blessés, d’autres réduits au silence. Leur présence autrefois ostentatoire sur les réseaux sociaux ou dans les rues s’est muée en repli, en isolement, en peur. Ce revirement traduit un changement profond dans le rapport de force.

Si des progrès notables ont été enregistrés dans plusieurs zones clés, d’autres restent en proie à une résistance armée. Des groupes lourdement équipés tentent de s’emparer de points vitaux du pays, notamment des infrastructures énergétiques et des routes nationales, cherchant à couper l’État de sa propre colonne vertébrale.
Malgré des affrontements violents, les unités de la Police nationale, avec l’appui des autorités locales, continuent de repousser les assauts et de freiner les avancées de ces groupes. Les autorités restent en alerte maximale, et la vigilance est constante.
Un proche collaborateur affirme : « Ce gouvernement ne permettra pas que la foi, la culture ou les libertés collectives soient piétinées par des hommes armés. C’est une question de dignité nationale. »
Mais au-delà de l’urgence sécuritaire, c’est une vision républicaine à long terme que défend le Premier ministre. La restauration de l’ordre n’est qu’une première étape vers un objectif plus vaste : le rétablissement du fonctionnement des institutions, la tenue d’élections libres et l’émergence d’une gouvernance stable et responsable.
Le peuple haïtien attend des résultats. Et le chef du gouvernement le sait. C’est pourquoi il agit avec méthode, mais aussi avec une volonté claire de rompre avec les cycles d’improvisation et d’impunité. Sa priorité est de remettre l’État au service de la population, dans tous les domaines : sécurité, justice, économie, services sociaux.
Alix Didier Fils-Aimé incarne un profil singulier : homme d’affaires devenu homme d’État, il porte un regard lucide et pratique sur les réalités du pays. Son attachement à Haïti n’est pas théorique. Il est enraciné dans l’expérience, dans les investissements faits ici, dans les emplois créés, dans les rêves construits à partir d’ici.
C’est pourquoi son combat pour la sécurité est aussi le combat d’un citoyen qui croit encore dans le potentiel de son pays. Face aux défis immenses, il avance, déterminé, aux côtés des institutions, des policiers, des citoyens mobilisés. Et pour la première fois depuis longtemps, un chef de gouvernement agit avec une constance qui pourrait bien marquer un tournant historique.